Chine: On fait honneur à ses hôtes en aspirant ses nouilles bruyamment.
Suisse: On ne pose pas sa serviette sur la table pendant le repas.
Thaïlande: Toucher un enfant sur la tête, siège de son âme, tient de la profanation.
Inde: Il est inconvenant d'enjamber une personne allongée.
Turquie: Se moucher en public est grossier. 
Russie: Se saluer sur le seuil d'une maison porte malheur.
Japon: Ecrire sur la carte de visite de son interlocuteur revient à souiller son âme.
Allemagne: Mieux vaut décliner clairement une invitation que d'expliquer qu'on viendra peut-être. L'"Ehrlichkeit", la sincérité, est une valeur cardinale.
Grèce: On ne montre pas sa paume ouverte, les doigts dressés, même si l'on veut indiquer le chiffre 5. Ce geste, la "moutza", est un signe de malédiction.
Chine: Frotter ses baguettes l'une contre l'autre avant de commencer un repas signifie qu'on s'apprête à passer un moment agréable entre amis.
Asie: On ne fume pas en marchant.
Grande-Bretagne: Entre deux plats, on garde ses mains sur ses genoux, pas sur la table.
Tibet: L'usage largement obsolète de saluer en tirant la langue avait raison d'être. On montrait ainsi qu'on ne dissimulait pas un sortilège, lequel aurait coloré la langue.
Proche-Orient: Pour marquer son respect à un ainé, on embrasse le dos de sa main avant d'y poser le front.
Italie: Si l'on connait le titre honorifique de son interlocuteur, on l'utilise sans lésiner: "dottore", titulaire d"une maîtrise, "onorevole", parlementaire, "professore", "ingeniere"...
Continent Américain: Une rencontre est le prétexte à une accolade. Sous ses dehors chaleureux, l'"abrazo", au sud, ou "bear hug", au nord, servait à vérifier que son vis-à-vis ne cachait pas une arme dans son dos.
Et partout dans le Monde: Il est impoli d'arriver en avance chez ses hôtes. S'il faut être à l'heure en Suisse ou au Japon, on doit prendre son temps en Espagne.
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